Les prémisses du nazisme et de ses avatars qui parfois vont prétendre se défendre contre celui-ci, relèvent de la structure de la société, et au final d'une immoralité qui doit encore être définie dans ses fondements et sa pratique, à la lumière des conséquences et des ressentis.
Dans Guerre et Paix, le "prince" Pierre (Bézoukhov) est le portrait d'un jeune homme aussi vide intérieurement qu'aisé, franc et sincère, mais aussi naïf et en quête d'une raison d'être.